Le jeûne n'est pas seulement une tendance : c'est un redémarrage de l'organisme

Le carême revient sur le devant de la scène en raison des implications pour la santé. Des options comme le 16/8 ou l'eau seule ont des effets différents. Mais que dit la science ?

Le jeûne aide le corps à utiliser les graisses comme source d'énergie. Selon l'étude, les personnes ont perdu 4 à 8 % de leur poids en 8 à 12 semaines.

Le jeûne réduit le taux d'insuline et augmente la sensibilité à l'insuline. Il peut améliorer la gestion du sucre et de l'énergie, ce qui peut contribuer à la prévention du diabète de type 2.

L'autophagie pendant le jeûne aide à détoxifier les cellules en décomposant les composants nocifs. Le prix Nobel de la découverte a été décerné à Yoshinori Ohsumi.

Le jeûne intermittent réduit la tension artérielle, le cholestérol et les triglycérides. Votre cœur vous remerciera peut-être un jour d'avoir jeûné.

Lejeûne augmente les niveaux de la protéine BDNF, qui aide les neurones, améliore la mémoire et favorise la neuroplasticité.

Un jeûne de courte durée peut 'relancer' l'immunité en déclenchant le renouvellement des globules blancs. L'organisme peut le faire sans médicaments, simplement en jeûnant.

Le jeûne aide l'organisme à mieux distinguer la véritable faim. Il peut réduire les niveaux de ghréline et augmenter la sensibilité à la leptine.

Le jeûne peut améliorer visiblement la peau en réduisant l'inflammation et le stress oxydatif. Il aide à lutter contre l'acné et favorise la régénération.

Le jeûne intermittent augmente la norépinéphrine, une hormone qui favorise la vitesse de réaction et la concentration. Il optimise également le métabolisme cérébral.

Le jeûne régulier réduit l'inflammation chronique et aide le corps à se 'réparer'. C'est une prévention efficace des maladies de civilisation.